Le dégât des eaux fait partie des sinistres les plus déclarés auprès des compagnies d’assurance immobilière. Il fait référence à une fuite d’eau, à une rupture de canalisation, à des infiltrations et plus encore. L’assuré doit déclarer cette situation au maximum dans les cinq jours suivants sinon l’indemnisation ne sera plus possible. Voici les options à saisir en cas de dégât des eaux.
Les procédures à suivre pour couvrir un dégât des eaux
Ce sinistre d’habitation peut coûter très cher si le propriétaire ne prend pas les décisions adéquates. En premier lieu, si le bien est souscrit à un contrat d’assurance, il faut déclarer les dommages immédiatement. Pour cela, un constat d’un professionnel du bâtiment est indispensable. Celui-ci doit déterminer les causes de l’incident, la surface des dommages, la zone du logement concernée ainsi que les coordonnées de toutes les victimes.
Par la suite, la compagnie d’assurance va fournir un devis de remise en état afin de réparer les dégâts. Ce dernier peut également être exécuté par un organisme externe. Le Bureau de l’Immobilier propose plusieurs courtiers immobiliers pour trouver une offre de qualité au meilleur prix.
Quel est le rôle de l’assurance dans cette situation ?
En général, la mutuelle ne couvre que les conséquences du sinistre. Hormis une situation de catastrophe naturelle, aucun travail de réparation n’est attribué à l’assuré. Trois types de couvertures sont proposés par les compagnies d’assurance afin de dédommager le propriétaire d’un bâtiment après un dégât des eaux. Il s’agit du remboursement du capital après devis de l’assureur, de l’intervention d’une entreprise affiliée à l’assureur et de l’exécution des travaux par l’assuré. Les prestations de l’assureur dépendent alors de la nature du contrat signé depuis l’accord.